Exercices :
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A chaque début de séance, ma Patiente exécute quelques exercices à poursuivre jusqu’à la fin de sa grossesse . Ils concernent les pectoraux : ils peuvent travailler en prénatal mais pas en postnatal surtout si la maman allaite. Des exercices de circulation pour les jambes sont prévus et font toujours du bien après une journée de travail ou en période de chaleur. Ensuite je prévois quelques exercices d’assouplissement des cuisses.Tous ces exercices se font en même temps qu’une prise de conscience de la bascule du bassin. Déjà la femme a tendance à être cambrée, si en plus elle porte son bébé vers l’avant, il faut qu’elle apprenne à mobiliser son bassin dans l’autre sens, comme si elle faisait le dos rond avec le bas de son dos C’est indispensable quand elle sera en travail et surtout au moment de la poussée.
Apprentissage de la poussée :
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En salle de travail, quand la future maman sent que ça pousse (comme pour aller à la toilette), elle préviens la sage-femme qui l’examine et si elle est à dilatation complète, elle peut pousser. Imaginez-vous : en arrivant, ce sont des contractions toutes les 5 min ., de 30-40 sec. et depuis 1h, 1h30.Là, le moteur utérin est à fond : des contractions de 1min 1/2, 2min , toutes les 30-40 sec .et jusqu’à la naissance du bébé ! Bien sûr, une poussée d’1min 1/2 est intenable alors la sage-femme coupe la durée de la contraction en deux, si pas trois phases de poussée : la première 10,15 secondes, la seconde, 20,25 secondes. Dans quelle direction va-t-elle pousser ? Vers le bas. De quelle manière ? En continu pour que bébé ne remonte pas.Je détaillerai les respirations liées à cette poussée dans mon prochain article.
Massage :
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